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L'aventure Miss Liban France 2012 a commencé !
- Vous êtes de père et/ou de mère libanais.
- Vous êtes âgée entre 18 et 26 ans.
- Vous êtes résidente en France.
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Le programme du festival Byblos 2012
Sept spectacles, de grands noms de la musique et des genres musicaux différents, c’est ce qu’offre à voir cette treizième édition du festival de Byblos qui démarre en force le 25 juin pour s’achever le 25 juillet.
«Ce festival s’adresse aux jeunes et aux moins jeunes, affirme la présidente du festival Latifé Lakkis, et permet non seulement de diffuser la culture, mais d’être un maillon de la chaîne économique dans la région de Jbeil, mais aussi dans le Liban en entier.» Un maillon fort, avouons-le puisque «l’an dernier, le festival a pu accueillir cinquante mille spectateurs», précisera encore Mme Lakkis. Quant à Ziad Hawwat, il a tenu à préciser que ces manifestations culturelles sont conformes aux traditions ancestrales du pays. «Je profite de l’occasion, ajoute-t-il, pour annoncer un festival parallèle, unique en son genre. Un festival d’acrobaties aériennes qui ouvrira également la saison de Jbeil.»
Pour sa part, Gaby Layoun a mis l’accent sur le rôle de la ville de l’alphabet dans le passé, le présent et l’avenir, tout en évoquant la modeste participation actuelle du ministère de la Culture par rapport aux grandes contributions individuelles qui sont la véritable dynamique culturelle du pays. Fadi Abboud, de son côté, a souhaité que ces festivals soient exportés et diffusés à l’extérieur afin de porter haut le nom du Liban. « Ne soyons pas austères, soyons ouverts au monde entier, tant dans les ministères du Tourisme que dans la Culture qui se doivent d’être de nouveau les principaux ministères au Liban», a enfin dit le ministre du Tourisme avant de passer la parole à Naji Baz pour annoncer le programme. «C’est certainement la guitare qui symbolise l’édition 2012, dira le producteur artistique de Byblos, puisque de grands guitaristes sont présents avec nous cette année.» Le programme :
Lundi 25 juin, 20h30
Slash
Deux heures explosives de hits et d’énergie folle en ouverture du festival. Ce «guitar hero», reconnaissable entre tous avec son chapeau haut de forme et son jeu de guitare tranchant, incarne plus que personne l’essence du rock. Le Time Magazine vient d’ailleurs de le consacrer le plus grand guitariste vivant. Accompagné de Myles Kennedy au chant, il présentera des extraits de son dernier album solo ainsi que les plus gros tubes des deux groupes qu’il a fondés, à savoir les Velvet Revolver et Gun N’Roses
Mercredi 4 juillet, 20h30
Julien Clerc
Julien Clerc réussit depuis 40 ans à traverser avec élégance toutes les modes avec un public toujours aussi fervent.
Ce dandy au vibrato inimitable revisite dans son spectacle « Symphonique » l’ensemble de ses grands standards (Ma préférence, Femmes, je vous aime, Ce n’est rien...), ainsi que des chansons plus récentes. Il sera accompagné de 40 musiciens de l’Orchestre philharmonique du Liban, dirigés par Stephan Gaubert.
Jeudi 5 juillet, 20h30
B.B. King
Figure emblématique du blues depuis plus d’un demi-siècle, B.B. King est une légende vivante. Sa voix incomparable et son phrasé très vite reconnaissable en ont fait le roi incontesté du blues et l’un des guitaristes les plus admirés du monde. Lauréat de 15 Grammy Awards, il sera à Byblos pour une soirée inoubliable accompagné de sa guitare bien-aimée «Lucille» et de sept musiciens.
Mercredi 11 juillet, 20h30
Ute Lemper
Ute Lemper est une artiste hors pair, une femme fatale habitée par les chansons qu’elle interprète.
Universellement saluée pour son exploration du répertoire cabaret, la diva allemande rend hommage à Astor Piazzolla dans son nouveau spectacle Ultimo Tango. Cette collaboration unique avec des musiciens virtuoses de Buenos Aires est l’occasion pour cette chanteuse phénoménale de s’approprier la passion du tango et de la culture argentine. Son charisme et son charme fou ensorcèlent.
Samedi 14 juillet, 20h30
Kadim al-Sahir
Surnommé «le César de la musique arabe» par Nizar Qabbani, Kadim al-Sahir est sans aucun doute le plus grand chanteur arabe du XXIe siècle.
Également auteur-compositeur de talent, il a vendu plus de 100 millions d’albums à travers le monde. Lors de chacune de ses apparitions scéniques, ce crooner charmant et sophistiqué tient le public dans la paume de sa main. Devenu un habitué du Liban, son prochain rendez-vous avec ses fans est une soirée romantique et pleine de poésie sous le ciel étoilé du site de Jbeil qu’il ne connaît pas encore.
Mardi 17 juillet, 20h30
Snow Patrol
C’est l’événement rock de l’été! Ce groupe irlando-écossais est l’un des groupes rock les plus attendus par le public libanais. Dans ce concert exceptionnel, ils présenteront leurs plus gros tubes dont quelques-unes des chansons les plus bouleversantes des dix dernières années: Run, Just Say Yes, Chasing Cars, Called Out In The Dark, ou encore In The End.
Mercredi 25 juillet, 21h30
Tinariwen
Lauréats du Grammy du meilleur album de musique du monde 2012, les Tinariwen jouent une musique intemporelle, à mi-chemin entre le rock, le blues et les traditions touaregs du Sahara. C’est surtout sur scène qu’il faut découvrir la musique hypnotique de ces «hommes du désert»: grâce à leur maîtrise du rythme et des guitares, ils offrent un spectacle fascinant, à la fois mystique et engagé. Un spectacle qui fera danser toute la nuit.
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Nayla de Freije dévoile le programme du festival de Baalbeck 2012
Jessye Norman, Chico et les Gypsies, Zucchero, Saber Rebaï et Machrou3 Leila : une diva divine, une fiesta gitane, une « icône de la variété italienne », une « superstar de la chanson arabe » et une révélation pop rock de la jeunesse libanaise. Voilà, en cinq attributs, le programme « rassembleur » du festival de Baalbeck 2012.
Un programme varié, étalé sur deux semaines, rendu public hier par la nouvelle présidente du festival, Nayla de Freige (membre active du comité exécutif du festival pendant dix ans jusqu’en 2007, d’abord chargée de communication puis vice-présidente, par ailleurs PDG du mensuel économique Le Commerce du Levant, administrateur délégué du quotidien L’Orient-Le Jour). Et ce lors d’une conférence de presse à l’hôtel Le Gray (place des Martyrs), en présence des ministres du Tourisme, Fadi Abboud, et de la Culture, Gaby Layoun, et de Mme Leila Solh Hamadé (représentant la Fondation al-Walid Ben Talal, un des partenaires du festival) qui a remis par ailleurs à May Arida une plaque en gage de reconnaissance et d’amitié. Étaient également présents : le président de la municipalité de Baalbeck, Osman Hachem, la vice-présidente du festival Joumana Debbané ainsi que Antoine Haddad (Arabia Insurance) et Nadim Kassar (Fransabank).
« Ce festival est avant tout celui de tous les Libanais », a déclaré en préambule de Freige se déclarant honorée de prendre la parole en présence d’une grande dame, May Arida, qui a consacré 50 ans de sa vie au festival de Baalbeck, en tenant à remercier par ailleurs les ministères du Tourisme et de la Culture ainsi que les partenaires et les sponsors. Elle a ensuite affirmé que la mission première du nouveau comité sera de « rassembler à travers les générations, les horizons culturels en offrant des spectacles riches et variés, pour tous. Qu’ils soient des légendes vivantes comme Jessye Norman, ou de jeunes talents comme Mashrou3 Leila, porte-parole de la jeunesse libanaise, la programmation du festival n’a qu’une mission : regarder devant !
« Depuis 1956, a ajouté de Freige, le président Camille Chamoun a donné vie au festival qui devint dès ses premières années d’existence le carrefour des spectacles les plus prestigieux et universels du monde : Von Karajan, Miles Davis, Oum Kalsoum, Feyrouz, Béjart, Sting, Massive Attack et tant d’autres ont marqué de leur empreinte notre festival et en ont fait un événement incontournable, dont la réputation dépasse toutes les frontières. » Et de conclure : « Comment parler de Baalbeck sans évoquer au moins un instant la force de ses pierres. La magie du décor millénaire et l’histoire d’un lieu fort, une acropole d’une majesté inégalable, un endroit qui porte les artistes vers les cieux et leur permet d’offrir des représentations comme nulle part ailleurs. »
C’est donc avec une fiesta gitane que le festival donne son coup d’envoi le vendredi 29 juin, sur les marches du temple de Bacchus. Chico, fondateur charismatique des Gipsy Kings, coauteur des titres planétaires Bamboleo, Djobi Djoba, Baila Me, artiste de l’Unesco pour la paix, a fait danser la planète entière aux rythmes de ses guitares gitanes. Un parcours couronné de 30 disques d’or et de 20 millions d’albums vendus. En 1992, lorsque les mythiques Gipsy Kings se sont scindés, Chico a repris la route avec « Chico & les Gypsies ». Sur scène, Chico et les Gypsies interprètent à l’unisson les grands standards de leur répertoire. Mais ils revisitent aussi les classiques d’Aznavour et fusionnent airs gitans et grands titres du raï, accompagnés de la voix chaude de Cheb Aissa.
Jeudi 5 juillet 2012 :
Zucchero
Les marches du temple de Bacchus
Une icône de la variété italienne, avec plus de 40 millions d’albums au compteur, Zucchero a composé, écrit et interprété des tubes incontournables comme Sensa una Donna (célèbre duo avec Paul Young) ou Wonderful Life. Reconnu pour le timbre si particulier et sensuel de sa voix rauque, il interprète sa chanson Misere avec les plus grands ténors de notre temps : Andrea Boccelli et Pavarotti. Ses duos célèbres comptent des célébrités comme Miles Davis, Rolling Stones, Sting, Eric Clapton, Bono, pour ne citer qu’eux.
L’artiste clôture à Baalbeck une tournée mondiale entamée en 2011 pour marquer la sortie de son nouvel opus « Chocabeck ».
Samedi 7 juillet :
Saber Rebaï
Les marches du temple de Bacchus
Consacré par la presse « superstar de la chanson arabe », Saber Rebaï est un artiste accompli. Chanteur et compositeur, ses tubes Wala Kelma, Sidi Mansour, Ya Assal, Athada el-Alam... connaissent un grand succès dans le monde arabe, mais aussi en Europe, en Amérique, en Australie et en Corée du Sud où ses tournées le mènent. Titulaire de nombreux prix, nommé « prince du tarab arabe », Saber Rebaï présentera à Baalbeck un répertoire varié mariant nouveautés (dont une chanson spécialement dédiée au Liban) et grands classiques du tarab.
Vendredi 13 juillet :
Jessye Norman
Temple de Bacchus
La grande cantatrice américaine, qui possède l’une des plus belles voix actuelles du monde lyrique, lauréate de cinq Grammy Awards, sera à Baalbeck accompagnée d’un piano pour interpréter des œuvres de quelques piliers de la musique de son pays : Ellington, Bernstein et Gershwin... Connue pour avoir tenu avec magnificence le rôle principal dans Aida de Verdi et pour l’interprétation des héroïnes wagnériennes, mais aussi pour son image sulfureuse et ses coups d’éclat, la diva a imprimé les rétine des spectateurs du monde entier lorsqu’elle a chanté la Marseillaise, vêtue du drapeau tricolore, lors des célébrations du bicentenaire de la Révolution française.
Dimanche 15 juillet :
Mashrou3 Leila
Temple de Bacchus
Mashrou3 Leila a accompli du chemin depuis sa percée il y a deux ans sur la scène pop/rock locale. Au Liban, mais aussi au Caire, à Amman, à Paris, Amsterdam ou Prague, le groupe se produit à guichets fermés et l’on peut presque parler de phénomène vis-à-vis d’un public séduit par leur jeunesse, leur modernité, leur désinvolture, leur musique entraînante et leurs paroles décalées. Pour Baalbeck, Mashrou3 Leila interprétera les morceaux qui les ont fait connaître comme Shim el-Yasmine, Raksit Leila, Habibi ou El Hal Romancy, mais aussi en avant-première une partie du répertoire de leur dernier opus. Et une mise en scène inédite pour ce concert de clôture du festival de Baalbeck 2012.
Reste à souligner que les billets sont mis en vente dès aujourd’hui jeudi 10 mai, dans toutes les branches de Virgin Ticketing (www.virginticketing.com). Tél.: 01/999666.
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1) Signature de cinq ouvrages écrits par des intellectuels libanais
· Bahjat Rizk, attaché culturel à la délégation du Liban auprès de l’UNESCO : Monologues intérieurs
·Jad Hatem, philosophe : Barbey d’Aurevilly et Schelling
· Nicole Hatem, philosophe : Surabondance · Toufic El-Khoury, cinéaste : Beyrouth pantomime
· Maurice Elia, cineaste et écrivain : Dernier tango à Beyrouth Samedi 12 mai 2012 de 18h30 à 21h30 aux éditions Orizons, 13 rue de l’Ecole Polytechnique, 75005 Paris.
2) Concert de soutien au Collège Oriental de Zahlé L’association “Coeur Monde” organise ce samedi 12 mai à 16h en l’église Saint-Julien-le-Pauvre (79 rue Galande, 75005 Paris) un concert de bienfaisance au profit du financement de bourses scolaires pour les élèves du Collège Oriental de Zahlé.
3) Présentation de l’ouvrage de M. Antoine Safar Les éditions L’Harmattan et Antoine Safar ont le plaisir de vous inviter à la présentation de l'ouvrage « AU BORD DES FLEUVES DE BABYLONE » le lundi 14 mai 2012 à 19h à l’Espace L'Harmattan, 21 bis rue des Ecoles, 75005 Paris.
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Programme du festival de Beiteddine 2012 dévoilé
C’est à la Salle de verre du ministère du Tourisme et en présence du ministre Fadi Abboud (qui a promis de mettre un budget à la disposition des grands festivals pour leur publicité à l’étranger) que Nora Joumblatt, présidente du Festival de Beiteddine, a annoncé le programme des soirées « beiteddiniennes » de 2012. Du pop-rock au lyrique, en passant par la danse, le tarab et le jazz, la diversité est, comme toujours, au rendez-vous de ce festival tout public !
28 juin : Caracalla Dance Theatre
Ouverture avec Kan ya ma kan, une création spéciale d’Yvan et Élyssar Caracalla pour le festival – accompagnée « live » par l’Orchestre philharmonique libanais conduit par Harout Fazlian – qui mixe, sur une trame tirée des contes des Mille et Une Nuits, les musiques de Rimsky Korsakov, du Boléro de Ravel réorchestrée sur instruments orientaux, et les airs du folklore interprétés par une flopée de chanteurs et d’acteurs connus (avec les apparitions spéciales de Hoda Haddad, Rifaat Torbey et Gabriel Yammine, entre autres). Sans compter l’énergie de la danse et le chatoiement des costumes et des décors toujours au rendez-vous avec Caracalla. Ce spectacle est également au programme des soirées des 29 et 30 juin.
7 juillet : danse contemporaine
Push avec Sylvie Guillem et Russell Maliphant.
Créé en 2005 au Royal Ballet de Sadler’s Wells et présenté en tournées en France, en Italie, en Suisse, en Allemagne et au Japon, Push est formé de quatre courtes pièces du même Russel Maliphant. Ce danseur et chorégraphe britannique est considéré comme l’un des plus brillants de sa génération. Il a développé une approche unique de la chorégraphie, qui se nourrit de sa vaste expérience du ballet et de la danse contemporaine, ainsi que de la capoeira, du t’ai chi et du yoga.
Sylvie Guillem, elle, n’est plus à présenter. La célèbre danseuse devait se produire le 16 juillet 2006 à Beiteddine et n’avait pu le faire pour les raisons que l’on connaît. L’ex-danseuse étoile de l’Opéra de Paris et soliste invitée du Royal Ballet de Londres a abandonné le classique, depuis une dizaine d’années, pour donner une nouvelle direction à sa carrière par des collaborations avec des chorégraphes tels que William Forsythe, Maurice Béjart, Mats Ek et, plus récemment, Russell Maliphant ou encore Akram Khan. Un Push qui la porte à explorer de nouveaux mondes du mouvement. Et qu’il faut inscrire sur l’agenda des soirées festivalières à ne pas manquer.
12 juillet : soirée tarab
Du tarab et des khoudoud halabiah avec Hamam Khairi, «la grande voix d’Alep».
Longtemps choriste au sein de l’ensemble de Chouyoukh el-tarab, il a grandi entouré de grands noms tels Sabah Fakhri ou Sabri Moudallal.
Doté d’une voix puissante, Hamam Khairi trace depuis une dizaine années son propre chemin. Il interprète des chansons exigeant une grande maîtrise et une technique sans faille, tout en faisant preuve d’une aisance dans les variations et l’improvisation. Il voyage facilement dans les formes savantes et traditionnelles qu’il sait réinterpréter dans un cadre de modernité respectueuse de la tradition. Depuis 1998, il connaît ses plus grands succès dans ses tournées de festivals. Celui de Carthage notamment. Tout comme en 2000, il a remporté le prix de la meilleure performance au Festival des radios arabes au Caire.
14 juillet : pop rock
Depuis un an The Cranberries sont de retour ! Mené par Dolores O’Riordan, chanteuse à la voix extraordinaire, ce groupe irlandais a régné sur les Charts durant plus d’une décennie avec des tubes comme «Linger», «Dreams», «When You’re Gone», «Salvation » ou encore le fameux «Zombie» avant de s’éclipser durant une dizaine d’années. Dolores et ses trois acolytes, le guitariste Noël Hogan, son frère le bassiste Mike et le percussioniste Fergal Lawler, voulaient se consacrer à leurs familles respectives. A leur actif: 30 millions de disques vendus, 4 albums au Top 20, des tournées planétaires et des millions de fans. Et voilà les quatre compères qui ressortent un nouveau cd intitulé «Roses» comprenant des titres aussi variés que le doux et estival «Fire & Soul», le reggae «Raining In My Heart» ou le tumultueux « Conduct Yourself » et qui remontent à nouveau sur scène pour distiller ce son si typique des Cranberries... que goûtent de nombreux fans!
17 juillet : jazz
Au menu de la soirée: le répertoire latino, brésilien, be-bop et swing, du Dizzy Gillespie All-Star Big Band, la formation d’excellents musiciens qui, sous la houlette du bassiste John Lee, rendent hommage au maître John Birks «Dizzy» Gillespie, l’un des plus importants trompettistes de l’histoire du jazz, et témoignent de son héritage dans leurs tournées de concerts à travers le monde. Un large ensemble d’une vingtaine de «disciples de Dizzy» (à l’instar des renommés Jimmy Heath, Cyrus Chestnut, Lewis Nash ou Antonio Hart, pour ne citer que les plus connus) auxquels va se joindre, en guest star, la jazzwoman libano-canadienne Randa Ghossoub au beau filet de voix smooth.
26 juillet : opéra
En droite ligne des Chorégies d’Orange où il est à l’affiche le même mois, La Bohème, un des opéras les plus populaires de Puccini qui conte l’histoire d’un petit groupe d’artistes désargentés, transformera la scène de la cour du palais des émirs en Quartier latin de Paris.
Dirigés par Jean-Yves Ossonce, l’Orchestre philharmonique libanais, l’ensemble vocal des Chorégies d’Orange et un chœur d’enfants libanais (Maîtrise du Festival de Beiteddine) entourent une belle distribution avec dans les rôles phares: les sopranos Inva Mula (qui a interprété, au cours de ces 2 dernières années, le personnage de Mimi à l’Opéra de Paris, au Staatsoper de Vienne, au Teatro Real de Madrid et au Liceu de Barcelone) et Nicola Beller-Carbone, ainsi que le jeune ténor italien Paolo Fanale.
Cimaises
Enfin, 2 expositions sont également au programme du festival et se tiendront du 28 juin au 28 juillet dans les salles adjacentes à la cour du palais. Celle de l’artiste calligraphe Samir Sayegh, intitulée « Yawmiyat hurriya » et inspirée du printemps arabe. Et celle du photojournaliste Göskin Sipahioglu, fondateur de l’agence de presse turque Sipa.